mardi 3 avril 2012

Une vue de chantier

Souvent, au cause de l'absence de liberté de panorama en France, on est bien embêté pour prendre en photo certains monuments de conception récente.

Pour moi, c'est quand même beaucoup plus simple de s'intéresser à ce qui se passe devant.

Voici donc un chantier en Normandie, assez banal, en fin de compte.

dimanche 31 juillet 2011

De la réutilisation simple des œuvres libres

− par Jean-Fred

En préambule, je remercie chaleureusement Pymouss de m’accueillir en ces lieux. Je remercie aussi la twitto-blogo-sphère wikimédienne francophone de s’être enthousiasmée à l’annonce de ce billet, et de s’être proposée en nombre pour m’héberger.

Wikimedia Commons. La médiathèque des projets Wikimédia. Fonds multimédia d’une ampleur et d’une richesse inouïes. Porte-étendard du mouvement des œuvres libres. Lieu de discussions sans fin sur le droit d’auteur, copyright & co, licensing comme on dit par chez nous.

Il y a tout pile un mois (et je te l’apprends probablement ami lecteur) a été créé [[Commons:Village_pump/Copyright]], pour que les utilisateurs aient un lieu où poser des questions en rapport avec le copyright (si si). Comme beaucoup de pages de Commons, c’est en anglais, pas très compréhensible pour le gars de passage, et dans ma liste de suivi.

Or donc, consultais-je avant-hier ma liste de suivi que j’ai remarqué ce fil. Résumé.

La personne compose de la musique et écrit des chansons. Elle les met sur YouTube et Facebook, pour que vous et moi allions écouter cela, et dans l’espoir un peu fou que peut-être, un jour, un producteur tombe amoureux et lui propose un contrat (la personne précise bien qu’elle est lucide quant à la probabilité que cela arrive).

J’y croyais…
(Nevit Dilmen, CC-BY-SA)
Plutôt que de mettre sa trombine statique en arrière-plan, elle écume iStockphoto, banque d’images « microstock », à la recherche de visuels en rapport avec ses chansons et réaliser un clip minimaliste. Mais iStockphoto, ça coûte des sous, et tout ça pour des vidéos qui ne lui rapportent pas un rond. Et si quelqu’un un jour veut payer pour son œuvre, ce serait pour la musique, pas le clip. Et si ça arrive, elle supprimera les vidéos et voilà.

Et cette personne se demande (et nous demande) : « puis-je utiliser des images et des clips de Wikimedia Commons dans mes vidéos, sans le moindre risque d’amende, poursuite judiciaire ou perte de mes droits d’auteur sur mes chansons − réponse courte SVP ».

Un vieux briscard de Commons, habitué des discussions du genre, lui tint à peu près ce discours :
  • Réponse courte : « oui, c’est justement le genre de chose que l’on cherche à autoriser, mais gaffe aux clauses des licences. »

  • Réponse longue : 612 mots. Tout y passe. Explication de la distinction entre collective work et derivative work, la viralité des licences, la nécessité de créditer les auteurs et mentionner les licences, les sept pages de la GFDL à inclure, l’impossibilité de combiner de la GFDL et de la CC-BY-SA, la possibilité de choisir la licence que l’on préfère pour des œuvres sous licences multiples. Et que non, normalement ya pas de problème pour ses chansons.
Un autre briscard est passé après pour une autre réponse courte : 1/ Image du domaine public (PD ou CC0) → Utilise comme tu veux ; 2/ Image CC → Utilise et indique auteur et licence ; 3/ Aucun problème pour tes chansons.

Huh.

Il est fréquent que les gens qui veulent réutiliser des œuvres de Commons demandent la permission aux auteurs − j’ai entendu et lu beaucoup de contributeurs le dire. Certains se fendent même de pages où ils ré-explicitent que non, ya pas de souci.

C’est un peu un fail majeur que de devoir expliquer une des raisons d’être du projet. Clairement, on a un problème de pédagogie quelque-part. Mais j’essaye de ne pas trop dramatiser sur ce constat.

D’abord, je mets ça en partie sur le compte d’un manque d’éducation du grand public aux œuvres libres : oui monsieur, des films/musiques/photos que vous pouvez librement télécharger, regarder, diffuser et même vendre, ça existe. J’ai souvent vu l’incrédulité peinte sur le visage de mes interlocuteurs quand je leur disais qu’ils pouvaient imprimer et vendre des bouts de Wikipédia si ça leur chantait − et franchement ça se comprend.

Ensuite, je me dis que de notre côté on ne peut que s’améliorer niveau pédagogie et ergonomie. Les gros boutons « Réutiliser cette image » sont très récents par exemple.

Mais cette histoire est autre chose. Un type arrive avec un cas relativement simple. Ce qu’il cherche à faire est en plein dans ce que l’on cherche à permettre. Et la réponse complète à sa question « Je peux ? » est en 612 mots. La réponse courte lui demande de regarder quelle licence il veut utiliser et d’agir différemment selon.

Et là, par contre, je me dis que ça va pas s’améliorer avec le temps. Les textes de licences seront toujours aussi imbuvables pour le commun des mortels (moi compris). La viralité demeurera un concept abscons à l’application tordue. Il faudra toujours se traîner l’incompatibilité de la GFDL et ses sept pages de texte.

…fut un temps.
(M. Rehemtulla/QUOI Media Group, CC-BY)
Il y aura toujours les auteurs qui rajoutent des clauses aux licences (comme si elles n’étaient pas assez compliquées comme ça) : « Veuillez faire figurer mon nom à proximité immédiate de l’image  », « Vous devez impérativement laisser le watermark », « Vous devez me contacter si vous utilisez l’image », ou encore (ma préférée) « Pour utiliser sur média papier, veuillez me créditer avec mon vrai nom que vous obtiendrez en me contactant ». Et tant pis si ces clauses soient un abus des licences Creative Commons ou en trahissent complètement l’esprit.

Oh, on a essayé de faire mieux. Il y a trois ans, j’ai accueilli avec enthousiasme la Grande Migration, où adieu les sept pages de la GFDL, tout passait en CC-BY-SA. Las. Il y a eu ceux qui se sont opposées à la migration. Et il y a ceux qui maintenant, mettent sciemment leurs photos sous {{GFDL-1.2}} − j’ai beau avoir cherché, je n’ai jamais lu le début d’une explication à part « Emmerder les réutilisateurs (si possible les multinationales qui exploitent des enfants et vont se faire du fric sur mon dos, mais au cas où, tout le monde) ».

Des Commonistes ont essayé de faire la chasse aux clauses alakon (mises en plus gros que la photo et avec des chouettes couleurs tant qu’à faire, voire en incluant du foutage de gueule intégral), en s’attirant des regards noirs accompagnés de claquements de porte. Un jour, j’ai suggéré d’imposer aux utilisateurs qui utilisent des modèles personnalisés pour indiquer qu’ils sont l’auteur de l’indiquer aussi normalement dans le champ réservé à cet effet, et sur lequel se basent les outils style les gros boutons. On m’a répondu que c’était une mauvaise idée. Car il faut éviter de froisser les Vrais Contributeurs™, de peur qu’ils ne Quittent le Projet™. Le gars qui veut réutiliser des images ? Oh, lui.

Sur la porte d’entrée, il est écrit « Wikimedia Commons, une médiathèque de watmille fichiers librement réutilisables et que chacun peut enrichir ».

J’aurais tant aimé qu’il soit écrit « Wikimedia Commons, une médiathèque de watmille fichiers que chacun peut réutiliser ».

dimanche 24 octobre 2010

Gwez kistin eus Breizh-Izel

L'affaire est un de ces marronniers qui refont surface régulièrement dans notre encyclopédie en ligne préférée. Pour suivre l'ensemble des articles concernant les communes d'Ille-et-Vilaine et de Loire-Atlantique, soit une bonne partie de la Haute-Bretagne, je suis aux premières loges pour étudier le phénomène. Il s'agit, bien sûr, de l'opportunité d'indiquer le nom des communes en langue(s) régionale(s).

C'est vers 2005 que sont apparus de façon systématique les noms en breton pour toutes les communes des cinq départements ; une façon d'affirmer une identité régionale autour d'une langue reconnue en se basant sur le travail effectué par l'Ofis ar Brezhoneg, un institut reconnu publiquement.
Certes, mais toute la Bretagne n'a pas toujours parlé breton et, il est communément établi qu'à l'est d'une ligne Vannes - Saint-Brieuc, on se trouve en pays gallo. Point de nom breton, donc, mais il faut indiquer les noms dans le patois parler local, se sont donc exclamé certains ! Et c'est reparti pour un tour : on supprime toute trace du breton et on indique au contraire les noms dans un gallo plus ou moins normalisé. Au gré des modifications, on s'est donc retrouvé avec le nom de la commune en français agrémenté de sa version gallèse et/ou bretonne. Parfois plusieurs versions pour chacune…
Après m'être successivement senti proche d'un camp puis de l'autre, je me suis décidé à laisser courir et à observer d'un œil distrait ce qui pouvait se passer dans LdS.

C'était il y a quelques jours. Dans une de ses campagnes d'envergure dont il a le secret, un des plus actifs contributeurs de Wikipédia, héros grec jadis agrémenté d'un sigle bretonnisant, s'est mis en tête de mettre de l'ordre dans tout ça. Après tout, nous menons un travail sérieux et il n'est pas question de maintenir un tel foutoir ; il fallait agir. Fermement. L'angle d'attaque choisi est clair : « Débarrassons-nous du folklore porté par ces dénominations. » Après tout, pourquoi pas ; il est vrai que nous avons une wikipédia en breton plutôt active et chacune des communes bretonnes y a son article relié à la version francophone par un interwiki.

Sauf que ce qui pointe derrière ce point de vue m'interpelle. En caricaturant volontairement, je comprends presque : « Donnons une seule vision de la France et débarrassons-nous de tout ce qui dépasse dans ces annexes régionalistes qui sont là pour ça. »
Sauf que la Wikipédia en français, ce n'est pas la Wikipédia de la France.
Sauf que rien n'est forcément simple dans la Wikipédia en breton. Et ça, c'est l'objet d'un prochain post…

mardi 16 mars 2010

Ce blog vit-il encore ?

http://commons.wikimedia.org/wiki/Image:Answer_to_Life.png

Ce week-end, lors de l’AG de Wikimédia France, quelques-uns de ceux qui se sont perdus sur ces pages m’ont demandé si mon blog était définitivement mort.

La réponse est : « NON »

À la question de savoir si quelque chose d’intéressant et de constructif allait y être bientôt, j’ai émis la seule réponse qui vaille en ces lieux : « 42 »

Alors évidemment, pourquoi faire un post pour avancer de telles banalités ? Bêtement pour faire un teaser et vous donner l’eau à la bouche en vous annonçant tout ce que vous pourrez bientôt découvrir ici :
Voila ce que vous pourrez lire bientôt dès que tout ça aura pris corps, dès que je saurais écrire correctement un post et dès que je me prendrai en main, surtout.

En attendant, j'en profite pour féliciter le nouveau secrétaire de Wikimédia France qui est issu de nos rangs : Nicolas (aka belett). Et ça c'est vraiment une vraie bonne nouvelle.

mercredi 27 janvier 2010

Naissances et morts sur Wikipédia


Une polémique traverse actuellement la Wikipédia anglophone : que faire des biographies de personnes vivantes ? L’excellent Wikipedia Signpost, qui est à notre Wikimag ce que le New York Times est à Télé Z, revient sur cette polémique dans sa dernière livrée. Un contributeur anglophone, Carcharoth, s’est livré à un petit exercice intéressant en analysant le nombre d’articles biographiques selon l’année de naissance et de décès de 1899 à 2010. Je vous invite à lire l’article et ses conclusions ici. En gros, on peut constater qu'il vaut mieux mourir récemment pour avoir le droit à son article (le pic est de 4 825 morts en 2008), ce qui n’est guère surprenant, et que la valeur n’attend pas le nombre des années puisque ce sont les natifs de 1982 qui sont les mieux représentés (8 577 ont leur article).

À la lecture de cet article, je me suis demandé si la version francophone suivait la même tendance. J'ai donc compilé les données des catégories « Naissance en XX » et « Décès en XX » pour les années 1899 à 2009. Cela donne le graphique ci-dessus.

Globalement pas de surprise : on observe aussi chez nous que les morts récents ont plus facilement droit à un article dans l’encyclopédie. C’est sans doute bien normal pour un site autant en prise avec l’actualité de consacrer facilement un article à une personnalité dont le décès récent génère beaucoup d’articles de presse et de livres. Il faut aussi bien constater que, dès qu’une mort est annoncé, on observe un pic de fréquentation sur WP. Ainsi, l’article sur Philippe Séguin a été consulté plus de 128 000 fois le jour de sa mort et celui sur Maxime Leroux, mort le 26 janvier, est passé de moins de 100 visites à plus de 18 000. Avec de tels chiffres, il n’est pas étonnant qu’un contributeur un peu chevronné passe par là et catégorise l’article dans la catégorie qui va bien, ici [[Catégorie:Décès en 2010]]. C’est beaucoup moins évident quand un rare visiteur passe sur l’article consacré à la fort peu médiatique Renée Prévert, morte en 1988.
D’autre part, avec 133 985 naissances contre 54 934 décès sur la période étudiée, on a bien la confirmation que Wikipédia s’intéresse avant tout aux personnes vivantes. Bien évidemment, et vous comme moi en sommes la preuve, tous les gens nés au XXe siècle ne sont pas encore morts et la population mondiale a fortement augmenté au cours du siècle dernier. Cependant, la différence entre les deux nombres montre que la notoriété immédiate ne signifie pas que la trace laissée dans l’histoire sera marquante. Certains suppressionnistes auraient tôt fait d’envisager d’appliquer les mêmes critères aux personnalités contemporaines qu’aux plus anciens, et donc supprimer toute une flopée de joueurs de football moldaves ou d’actrices porno péruviennes. N’est-ce pas au contraire la richesse de Wikipédia de mettre à disposition du plus grand nombre des informations sur des personnes aussi diverses et ainsi d’être un témoignage du présent ? Qui sait si ces informations ne seront pas utile à qui voudra faire une histoire du football moldave dans cinquante ans…

En regardant plus finement les courbes, on observe, sur frWP comme sur enWP, deux pics de mortalité aux années 1918 et 1944-45 : sans doute la mort en fin d’un conflit mondial est-il un gage pour entrer dans l’histoire… Quant aux naissances, on observe deux maxima intéressants. Les natifs de la période 1972-85 sont plus de 2000 par an à avoir un article, alors que les pays industrialisés sortaient du baby-boom ; c’est sans doute la marque de la sur-représentation des sportifs en activité (ou jeunes retraités), des acteurs et chanteurs à la notoriété inversement proportionnelle à l’âge et, aussi, des personnalités liées au monde informatique. En gros, des personnes qui savent créer le buzz. Par contre, on remarque que les personnes nées dans l’immédiat après-guerre sont aussi bien représentées (2 001 natifs de 1947). Carcharoth y voit un effet démographique lié au baby-boom. Personnellement, je pense plutôt que cette abondance de sexagénaires est une marque que les notables actuels sont plutôt bien présents dans l’encyclopédie : politiciens, journalistes, écrivains, scientifiques… Eux aussi sont dans l’actualité, ils sont donc dans Wikipédia.

Enfin, je n’ai pas pu m’empêcher d’être sidéré par le nombre d’articles présents dans la [[Catégorie:Date de naissance inconnue (XXe siècle)]] (2 457 personnes). Soit il y a beaucoup de personnes si peu notables qu’on ne peut retrouver leur date de naissance, soit les wikipédiens ne s’intéressent pas beaucoup à une personne au moment de créer un article et ne vont même pas à la bibliothèque du coin consulter le Who’s who?. En tout cas, ce chiffre permet de penser que l’autopromo reste pour le moment un phénomène marginal.

vendredi 1 janvier 2010

Nous y voila !


Ça y est, c’est fait : comme prévu, 2009 n’a pas passé la nuit.

C’est maintenant l’heure des bonnes résolutions, des souhaits pour l’an neuf (qui est donc l’an dix). Alors, encore un peu entêté par les effluves d’une nuit de réveillon, je souhaite tout simplement que 2010 soit une année où vos projets se réaliseront, où les inévitables difficultés que connait chacun seront vaincues.

Je souhaite aussi que la connaissance sous toutes ses formes soit encore mieux partagée, librement et gratuitement, à travers Wikipédia, Wikisource et Commmons notamment. Qu’en 2010, les synergies qui éclosent grâce à ce formidable outil qu’est Internet continuent à se développer et que chacun apporte, modestement, sa participation à essayer de rendre ce monde un peu meilleur.

Bonne année à tous.

lundi 28 décembre 2009

Vivement l’année prochaine !


À l’aube de cette nouvelle décennie, je fais comme tout le monde et j’essaie de faire un bilan de l’année pas encore finie. Vu que je ne parle quasiment que de Wikipédia et des projets frères en ces lieux, je ne vais pas vous surprendre en évoquant l’un d’eux qui me tient à cœur.

Ça a dû germer au moment de la journée du patrimoine où, faute de faire la promo des projets Wikimédia comme cela fut un temps évoqué, nous avons décidé avec certains wikipédiens rennais d’orienter nos visites en fonction des besoins de Commons pour étoffer la [[Category:Monuments historiques in Rennes]]. Entre les gouttes de pluie, la moisson a été riche : hôtel de Courcy, hôtel Oberthür, etc. Mais le problème était de donner un peu de sens à tout ça, notamment grâce à la base Mérimée, mise en œuvre par le ministère de la Culture et particulièrement bien fournie en Ille-et-Vilaine.

Hélas, en parcourant cette base exhaustive des monuments historiques français, quelle ne fut pas ma déception de voir que la plupart d'entre eux n'était pas illustrée ou alors avec des images bien peu représentatives. Alors on s'est mis à arpenter les rues de Rennes à la poursuite de la grosse centaine de MH que compte notre belle ville. L’objectif initial était plus ou moins de compléter en couleurs et en bonne qualité ce que Mérimée avait déjà. Évidemment, comme chaque participation à un projet Wikimédia, il s'agit de partager tout ça sous licence libre.

Et puis la machine s'est emballée. Un modèle {{Mérimée}} a été créé pour lier chaque photo à la fiche idoine dans la base. Des monuments déjà abondamment photographiés, mais à chaque fois sous le même angle, on été revisités, comme le Parlement de Bretagne et sa place, ou Notre-Dame-en-Saint-Melaine. Des façades ont été auscultées pour en faire ressortir d’insoupçonnés détails (sur la cathédrale, par exemple). Bref, en fin de compte, tous les MH de Rennes sont désormais photographiés.

Il ne reste plus qu’à les transférer sur Commons, a mettre le lien vers la bonne fiche Mérimée, à géolocaliser correctement et à trouver (et/ou créer) les catégories idoines pour que tout ça soit exploitable. Autant dire que Rennes sera sans doute la première grande ville française à avoir une photo libre de chacun de ses monuments historiques. Mais ce sera en 2010 !

Bonne fin d'année.